popoule
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de toujours
Elpha Barrowblick vie une vie d'enfer contrôlée par son méchant patron, quand elle remarque un jour que le monde qu'elle a connue n'existe pas. Quand son patron lui dit qu'elle est virée, elle ne sait plus quoi faire dans sa vie, sachant qu'elle ne peut plus sortir de son monde.
Par Clément Ourceau, avec l'aide d'Émile Ourceau.
Par Clément Ourceau, avec l'aide d'Émile Ourceau.
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Vernard, un enfant de 11 ans et presque 12 ans, a une vie difficile. Son père est mort, et le réchauffement climatique devient trop fort. Avec sa sœur et son frère, ils vont faire une grande aventure.
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Adam et Ève se retrouvent dans le présent par un événement inexplicable et ce, juste avant d'avoir mangé la pomme du serpent. Ensemble, ils font une grande aventure comique et épique.
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Défi
L'inconnu, c'est ce qu'on ne connait pas. MAis en fait, on croit qu'on ne connait pas cet endroit, mais en fait on le connait. Ce que l'humain croit, ils ne le croient pas réellement. Ce qu'ils ne croient pas, ils le croient en fait.
Un allé pour l'inconnu, c'est un endroit qu'on connait par coeur. L'inconnu, c'est le vrai monde. Je m'assoie dans ma chaise berçante. J'ai au moins quatre-vingt douze ans; c'est beaucoup. Je prends un livre, et je commence à lire. Ce qu'il y a dans ce livre, c'est aussi l'inconnu. On ne sais pas ce qui va arriver après, mais on le sais au plus profond de nous-même.
Après avoir fini mon livre, je rencontre un autre endroit: la cuisine. C'est aussi l'inconnu, car on ne sait jamais ce qui va arriver, ce qu'on va cuisiner, si on va cuire ou frire, ou ce qu'on va frire. Je me prépare une omelette, et je déguste seul sur la chaise. Après avoir mangé, je retourne lire un autre livre. C'est un autre exemple d'inconnu. En lisant, je m'endors.
Je rêve, je vois, je sens, j'entends. C'est l'inconnu, c'est simple, c'est un rêve. On ne se sent pas vraiment dedans. On est conscients qu'on n'y est pas, mais on ne sais pas non plus si c'est la réalité ou l'irréalité.
Le prochain voyage, c'est le réveil. La sortie de l'inconnu, mais aussi le début d'un autre inconnu. Tout est inconnu.
L'inconnu est vivant.
L'inconnu est réel.
L'inconnu est irréel.
L'inconnu est le sujet.
Et l'inconnu est la fin.
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Défi
Bon, tout commence dans la cour d'école, la nuit (ce qui est vraiment bizarre). Tout les élèves jouent dehors. Je me tourne, et je vais vers la porte d'entrée, mais il y a un parasol bleu qui la bloque. Soudainement, un labyrinthe de crottes de nez se forme autour de moi!! En fait, c'est un tout petit labyrinthe qui bloque la porte d'entrée encore plus. J'entends un son de reptile. Une ombre cache tout le labyrinthe, et...Un iguane géant est dans le labyrinthe! Je cours dans les tunnels, il me poursuit, et tout et tout. Et ce, pendant des heures! Ensuite, dans le labyrinthe, il y a une vielle madame d'au moins 100 ans qui marche dans le labyrinthe. Je la regarde, et elle viellit tellement qu'elle fond. C'est tellement flippant. Après, l'iguane me mange, et je me réveille dans la réalité.
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Défi
J'avance dans la forêt sombre. À côté de moi, il y a mon ami, Robert. On continue à avancer. On est perdus ça fait des semaines. On est pas morts, mais on est au bout de craquer. Je me tourne, je regarde Robert qui est derrière moi, mais...il est un squelette! Je cligne des yeux, et quand je le reagrde à nouveau, il est redevenu normal.
-Assoyons nous ici! dis-je en pointant du doigts un endroit rempli de feuilles de chêne.
Robert dépose le sac sur le sol. Je m'allonge, et je m'endors d'un coup sec. Mon ami fait pareil. On ronfle vraiment fort. À minuit pile, Mon amis Robert se réveille. Il prends une hache, avance dans la forêt, et pars dans le coulisses de brume, qui le recouvre. Au petit matin, je me réveille. J'ai énormément faim. Soudainement, ma jambe touche quelque chose de mou. Un écureuil mort se tiens juste devant moi! Il est sur son ventre, et je le tourne de côté. À la place de son coeur, il a une énorme marque, comme si il avait été tranché en deux.
-Hé, Robert! Regarde ce qu'on a là! Tu crois qu'il est venu comment, à ton avis?
Robert arrive, fatigué. Évidemment, je ronfle fort.
-Oh, wow! C'est incroyable! On va pouvoir se régaler, là. Et nous deux, cette foix si.
J'ai tort pour ce que j'ai fait avant. On avait enfin trouvés de la nourriture, mais je ne l'ai pas partagée. C'était juste après qu'on se fasse renvoyer du camp de scouts. Enfin, on a fait la fugue, mais on a été pris par la police. Ensuite, j'ai mis feu à l'agence de police avec un lance flamme que j'ai trouvé, j'ai attrapé un fusil, et j'ai tué tout le monde. Robert et moi on s'est battus avec des fusils (évidemment, on avait pas le droit, mais on avait seulement 13 ans), et on a fugués à nouveau. Le feu s'est propagé dans toute la ville, et les pompiers ont risqués leurs vies pour arrêtter le feu. Après des mois de travail, ils ont réussis à enlever le feu de la ville, mais il ne restait qu'un seul habitant; un seul pompier. Il est mort il y a pas longtemps par une pneumonie des poumons. Donc, il ne reste que Robert et moi, deux enfants de 13 ans (en fait Robert en a 14, c'était sa fête il y a 3 jours).
Après une bonne journée, nous nous recouchons. Même scénario, avec Robert qui pars dans les bois. Je me réveille le matin, et au lieu d'un écureuil, il y a un cerf devant moi, allongé, à la même place de l'écureuil. J'appelle Robert, qui arrive tout aussi fatigué que la nuit dernière.
-C'est un coup de chance! Chaque matin, à compter d'hier soir, il y a un animal devant nous. Ce serais pas toi qui va chercher tout ces animaux? Je t'ai vu sortir cette nuit, et aussi la nuit dernière.
-Oh, non. Pourquoi tu penses ça? Je te jure, entre amis, que je ne suis même pas sorti de cet endroit pendant la nuit!
Je suis confus, comme je veux dire, vraiment confus. Alors c'était qui qui était sorti la nuit? Je commence à avoir énormément de doutes. C'est décidé; la nuit, je ne vais pas dormir, et je vais surveiller le camp.
Enfin vient la nuit. Je surveille le campement, exactement comme je m'étais promis. J'attends des heures, rien.
CRAK!
Un son provenant des bois retentit.
CRAK!
Et il recommence.
Soudainement, une tête de démon apparait devant moi. Ses dents sont tellements jaunes, et des insectes se promènent dans sa bouche, certains rentrent, certains sortent. Son haleine putride et faisandé me hanterons pendant des années. Il sort une langue dégoutante et gluante. Ses dents s'éguisent d'un coup. Il tends sa langue vers mon coup, attends un moment, puis m'étrangle. Je crois même que je vais mourir. Avant ma mort, il dit:
-Je suis le diable, et c'est moi qui ai contrôlé ton amis. Il a pris des défunts venant de l'enfer, et je les aies transformées en écureuil et en cerfs. Et ces défunts, c'étaient tes parents. malencontreusement, je suis obligé de te dire adieu.
Il sert sa langue très fort, et je meurs, allongé par terre. Une armée de démons avancent dans la sombre forêt, tenant des cadavres dans leurs mains.
basée sur une histoire vraie
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Défi
Je sais que cela peut paraitre absurde, mais il y a quelques années, j'ai trouvé un bout de papier dans mon vieux placard. Je l'avais acheté quand j'avais huit ans, avec ma mère. Mon père n'était pas là, il était à la maison. Il est mort ce jour-là, je suppose qu'il a bu trop de vin. Il était alcoolique et une fois, il a même essayé de se suicider. Alors je m’en vais placer une des bouteilles d’huile d’olive dans mon vieux placard quand je trouve un petit parchemin mesurant environ deux cm carrés. Les bords plissés et grisâtres du papier se frottent sur la paume de ma main. Il est écrit Une plume d’échôitre et un coumängs dans une marmite, le sang d’un animal innocent dans un bol du cœur d’ouvâshèr. Je décide ensuite de faire des recherches sur tous ces mots étranges, et je réussis à trouver ces définitions-là: Échôitre: Le cousin du phœnix. Au lieu de se transformer en cendres à la fin de sa vie, l’échôitre se transforme en humain sans pitié. Coumängs: Plante (champignon) se trouvant au plus haut des cieux, au royaume de dieu. Ouvâshèr: Rat vivant au royaume de l’enfer. Pendant bien des années, j’ai escaladé toutes les montagnes de l’amérique, je suis allé dans pleins d’églises et
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Défi
En août 2029, il n'y a plus d'internet mondialement, ce qui cause une catastrophe gouvernementale.
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L'univers. Personne ne sait exactement ce qu'il est. Ni pourquoi et comment il existe. Et personne ne sait non plus comment nous sommes là, vivants dans cet endroit sombre et froid où le temps s'étend à travers l'espace. Mais nous savons quand même que nous devons continuer de vivre. De respirer. D'exister.
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Défi
moi du passé
lui du futur
lui du passé
moi du futur
c'est confusant
c'est embrouillé
moi qui était embrouillé
moi qui est confus
moi qui seras perdu
et moi qui m'était retrouvé
tout au fond de la cave
tout au fond de ma cave
tout au fond de la cave qui m'appartiendras
celle de mon futur
et celle qui était mon passé
et mon présent
et mon futur
moi du passé
je t'adresse cette lettre
du toi du présent
et de lui du futur
moi du présent
je t'adresse cette lettre
moi du passé
pour te prouver
pour me prouver
que le futur te parles
et que mon passé m'entends
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Une simple histoire sur une simple personne.
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Dans un pays lointain nommé ''Ratus'', vivait les choses les plus incroyables de tout l'univers. C'était un pays si magnifique, si étonnant que si les humains y parvenaient, ils se croiraient au paradis. En effet, la terre était fertile, la nature ne pouvait s'éffacer du paysage, ainsi que la délicieuse odeur de légère humidité flottant dans l'air. Les rayons de soleil traversant à travers les branches des arbres feuillus tels des étoiles dans un ciel bleu, la mousse au fond des arbres couvraient un sol mou et invitant.
Dans ce pays vivait des êtres. Des êtres gentils, aimables, et qui ne feraient d'ailleurs jamais de mal à personne. Ces êtres là s'appellaient les "Bandréniens". Ils se comportaient convenablements, un peu trop d'ailleurs. Ils étaient des êtres civilisés, dépourvus d'impolitesse et d'égoisme, qui profitaient de chaque moment de leur courte et insignifiante vie. Ils en profitaient car leurs vie ne durait que quelques décénies (environ 50 ans). Bien que leur monde était magnifique, vivant et flamboyant, ils n'étaient que tristes, mélancoliques et déprimés, tout au fond de leurs âmes. Quand ils étaient heureux et joyeux, au fond d'eux il n'y avait qu'un vide, un trou de verre. Et ce trou de verre là, il aspirait toute joie et autres bonnes émotions rapportant bonheur à leurs corps. Leurs âmes, elles, semblaient sombrer dans la pénombre de leur mélancolie.
Après des milliers d'années de générations Bandréniennes, ils finirent tous pas sombrer dans la tristesse, leurs âmes arrachées de leurs pauvres corps. Personne ne pouvait les empêcher de continuer comme cela, d'avancer vers les générations futures, laissant à leurs enfant un misérable avenir.
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