Bad Sale
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de toujours
Dans les méandres de la vie moderne, Nicolas navigue entre ses propres démons et ceux des hommes qu'il accompagne dans son job. Brisé par un passé tumultueux, entre dettes et relations éphémères, il aspire à devenir écrivain, mais les mots lui échappent. Pour échapper à sa réalité, il observe et questionne ceux qui, comme lui, se perdent dans les méandres de l'angoisse et de la dépendance.
À travers le personnage de Marc, qu'il écrit en quête d'une vérité cathartique, Nicolas explore la souffrance silencieuse des hommes, ceux qui se cachent derrière des façades de virilité, mais qui luttent contre des blessures invisibles. Alors qu'il s'interroge sur la place de l'homme dans une société en mutation, il découvre que l'écriture peut devenir un refuge, un moyen de faire éclore des vérités longtemps enfouies.
Entre rencontres inattendues et réflexions poignantes, ce roman nous plonge dans un univers où la vulnérabilité masculine rencontre la recherche d'identité. Une histoire d'empathie, de reconstruction et d'espoir, où chaque homme est un miroir de l'autre, et où la force réside dans la capacité à se montrer tel qu'on est.
À travers le personnage de Marc, qu'il écrit en quête d'une vérité cathartique, Nicolas explore la souffrance silencieuse des hommes, ceux qui se cachent derrière des façades de virilité, mais qui luttent contre des blessures invisibles. Alors qu'il s'interroge sur la place de l'homme dans une société en mutation, il découvre que l'écriture peut devenir un refuge, un moyen de faire éclore des vérités longtemps enfouies.
Entre rencontres inattendues et réflexions poignantes, ce roman nous plonge dans un univers où la vulnérabilité masculine rencontre la recherche d'identité. Une histoire d'empathie, de reconstruction et d'espoir, où chaque homme est un miroir de l'autre, et où la force réside dans la capacité à se montrer tel qu'on est.
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Quand Hank ouvre les yeux, il est seul, amoché, et sans souvenirs dans une ruelle déserte. Sa seule compagnie ? Son reflet narquois, qui lui renvoie une image de lui-même ensanglanté et perdu, et une voix intérieure sarcastique qui semble s'amuser de sa situation.
D’indices en rencontres étranges, Hank tente de reconstituer les fragments de la nuit qui l’a conduit là. Mais à chaque coin de rue, l’étau se resserre : des silhouettes le suivent, et dans un bar irlandais enfumé, une serveuse lui confie qu’elle a été payée pour le surveiller. Avec un esprit embrouillé et une mémoire en lambeaux, Hank doit naviguer entre ses doutes et les dangers qui rôdent. Est-il une victime ou un coupable en fuite ?
Mystère, tension, et humour noir, un héros malgré lui, qui cherche des réponses au cœur de la nuit…
D’indices en rencontres étranges, Hank tente de reconstituer les fragments de la nuit qui l’a conduit là. Mais à chaque coin de rue, l’étau se resserre : des silhouettes le suivent, et dans un bar irlandais enfumé, une serveuse lui confie qu’elle a été payée pour le surveiller. Avec un esprit embrouillé et une mémoire en lambeaux, Hank doit naviguer entre ses doutes et les dangers qui rôdent. Est-il une victime ou un coupable en fuite ?
Mystère, tension, et humour noir, un héros malgré lui, qui cherche des réponses au cœur de la nuit…
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Défi
Quoi de plus angoissant que d'entendre au fin fond de la forêt, au milieu de la nuit, mon petit cri et celui de mes frères et sœurs qui s'amusent à se mordiller nos nez pointus, nos tulles orangés finis de blanc, chassant par-ci, par-là quelques rongeurs traînant dans les feuillages d'automne tombés au sol rappelant la couleur de nos robes... Pourtant, dans mon autre vie d'humain, je me souviens qu'on faisait de moi un symbole de l'amitié, de l'apprentissage de cette relation de confiance par l'apprivoisement... avant de me traiter de rageux... Le seul héros qui nous rendait hommage portait un masque noir dans les westerns mexicains... Il montait, vêtu d´une cape de la même teinte que son chapeau et son masque, un étalon tout aussi assorti pour paraître ombre dans l'ombre... Pas de quoi vous renarder trop longtemps, vous m'avez reconnu... Avant d'être là, sur ma croix, qui rappelle le chemin que j'ai fait jusque ici, il y avait écrit la phrase qui me décrivait le plus : Je vous hais tous !
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Défi
J’inspire… J’expire… L’odeur de l’humidité imprègne la pièce. Mes yeux sont fermés, mais dans mon esprit, je revisite chaque détail de l’endroit. Tout est à sa place. Ce lieu me rappelle des souvenirs terrifiants. J’inspire encore… J’expire encore… Il y a ces choses qui refusent de s’effacer, comme ces voix dans ma tête qui murmurent ce que je devrais faire, ou ne pas faire. Je ne sais pas laquelle écouter. Mais, lors de mes études, j’ai appris que chacun de nous possède un "ça" enfoui, cette part primordiale, celle qui nous relie à nos instincts les plus bruts. J’ouvre les yeux, et ma vue s’ajuste à la faible lumière du plafond, une seule ampoule dont le filament brille d’une lueur fragile. Les murs suintent le froid, les pierres se mélangent à la terre, et le sol poussiéreux et humide évoque la cave où, enfant, je n’osais pas aller chercher le ballon. Mais ici, il n’y a pas de ballon. Juste un bâillon. Serré autour de sa bouche. Cette bouche épuisée, qui n’a plus la force de crier après tant de hurlements étouffés. Pauvre mec. J’ai presque de la peine pour lui. Il est à genoux dans un pantalon que je ne pourrais pas me payer, taché de sable rougeâtre, une chemise souillée de suie
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Défi
Si l'hypocrisie avait un visage dans le dictionnaire, il aurait probablement le tien, s'il devait y avoir un portrait descriptif il ne serait pas compliqué d´en faire un chapitre complet dans une histoire pour exprimer la forme qu'elle pourrait prendre en parlant de toi. Se faire passer pour quelqu'un de bien alors que seules les épines poussent dans ton jardin de roses est tout ce que la poésie pourrait faire de beau en parlant de toi. Se maquiller ne changera rien à la façade, embellir quelque chose de pourri n'empêchera jamais les murs d'être traités comme il se doit, une structure bancale prête à s'effondrer à n'importe quel moment. Comment une personne comme toi peut s'autoriser à donner des leçons de morale aux autres si tu n'es pas capablede te rendre compte de la duplicité de ta vie. Même tes excuses ont le goût amer de ta valeur. Je pourrais faire une liste d'adjectifs qualificatifs pour parler de toi mais cela ferait perdre leurs qualités. Tu ne mérites aucunement que je m'attarde plus sur toi, même un regard est une torture. J'en envie les aveugles et les sourds de ne pouvoir t'épier et t'ouïr. Même avoir frappé tout ce texte sur mon clavier pour t'écrire je me dis que l
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Défi
La vie de famille... Cette chose que l'obsolescence programmée n'avait pas prévue. Bordel de merde, regardons-nous, père, mère, frère, sœur, cousin, cousine, enfant, adolescent. La vie ne nous apprend plus rien. On ne se parle plus, on parle avec les autres, on attend des nouvelles des autres comme on attend une nouvelle sur un site de partage d'écriture. Qui arrive encore à se déconnecter ? Pas moi, pas bien longtemps en tout cas. C'était un piège, dès le départ on le savait. On s'est mis sous écrou, jugé par les autres, et juge des autres, mais pas dans l'enceinte d'un tribunal, sans réelle justice. On se déchire à s'en demander qui sera le vainqueur de la prochaine tromperie, comment cacher au mieux qui on est, ce qu'on fait pour ne pas se faire prendre et faire en sorte que la moindre erreur provienne de l'autre et pas de nous-même. On se connecte et on se déconnecte de la vie de famille en même temps. Comment réapprendre les bases familiales lorsqu'on n'est même pas le propre professeur de notre vie, on ne s'apprend plus rien, on subit. Comme une répétition de la naissance ? Aujourd'hui, la vie est une supercherie, un peu comme une personne voulant faire un régime mais qui inj
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Défi
Jamais je n'aurais apprécié les chats Avant de t'avoir entre mes pattes, Aussi petit et bruyant que ce jours-là Jusqu'à ce que je t'appate. T'étais mignon au début, Mais fallait que je t'apprenne Ou déposer tes étrennes Mais à l'éducation tu étais au rebut. Alors on a fait preuve de patience, La litière m'emmerdait, L'odeur me gênait, Alors j'ai usé de manigance Ta basterne déplacée, À sa place au cabinet. Comme un enfant je t'ai appris À la selle te soulager Afin de me dégager Du temps et des senteurs de mépris. Puis il y a eu cette famille Avec qui nous nous sommes installés, Des enfants bien gentils Mais des pièges que ton destin à sceller. Cette putain de fenêtre battante, Alors que tu étais dehors, Tu voulais braver la mort En passant part la fenêtre saillante. Les gamins t'ont trouvé la langue pendante Comme déjà pour m'avertir Qu'avec eux cette histoire aberrante Un jour va se finir Putain de chat T'aurais pu me le dire avant !
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Défi
... et lui dire ce que j'ai vécu, afin de lui faire un topo sur le fait que je ne suis qu'un looser. Mais pas un looser qui s'y complet, mais un looser donneur de leçon alors que je sais très bien que je ne ferais pas le quart de ce que je conseillerais. Au niveau de l'hypocrisie je serais en parfait accord, à la limite d'une danse où chaque pas aurait un sens. Et puis le but de raconter ma vie à un(e) passant(e) inconnu(e) n'en a pas moins le suivant, qu'il ou elle me raconte sa vie. Lui donner confiance pour qu'il ou elle en dise plus que moi. Où est l'intérêt d'inspirer confiance auprès de quelqu'un, paraître sensible afin de se nourir de la sensibilité d'autruit, si ce n'est pas pour obliger l'autre à tout me raconter ? La démarche la plus favorable est de romancer un peu son histoire, donner un sens, y mettre de l'emphase, et un peu résilience, afin qu'en face, on se dise que je suis quelqu'un de bien. Par contre, le plus difficile, c'est de pouvoir dire stop à cet(te) inconnu(e) avant que tu te sentes obligé de jouer les psychologues. J'ai toujours eu envie de raconter ma vie à un(e) passant(e) inconnu(e) ... Parce que je sais que j'en serais plus sur les autres qu'eux sur mo
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Défi
Mes mains sur ta peau parcourent ta silouhette tamisée par le feu, découvrant la forme du fruit interdit entre tes branches, cette peau de pêche, d'où s'écoule déjà ce léger parfum acidulé, envieuse que ma menteuse parvienne à sussurer quelques mots doux à ton isthme qui se noie.
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