La vie est belle, non ma vie est belle. Celle des autres je ne sais pas ,mais la mienne est sublime. Après tout, je fais ce qui est en mon pouvoir pour la rendre magnifique, ce qui je le reconnais n'est pas à la portée de tous. Certaines personnes n'ont pas les moyens ou le courage de rendre leur vie unique. Oui c'est vrai, je plains ceux qui n'ont ni projets d'avenir ni souvenirs d'enfance. Je plains aussi ceux et souvent ce sont les mêmes, qui n'arrivent pas à prendre plaisir avec les choses simples. Je pense que la vie ne va pas à tout le monde, la vie va à ceux qui font tout ce qu'ils peuvent pour la vivre à fond, certains se contentent de la vivre et d'autres la subissent. Cependant il m'arrive parfois le soir comme un petit coup de cafard, lorsque je rêve d'une vie qui n'est pas la mienne, pourtant je reviens toujours à me dire que je ne voudrais être quelqu'un d'autre. On entends souvent des gens dirent " tu vas rater ta vie." Mais c'est quoi pour eux rater sa vie ? C'est ne pas avoir un emploi assez rémunéré ? C'est ne pas avoir d'enfants ou en avoir trop jeunes ? Et réussir sa vie c'est quoi ? C'est avoir une piscine dans son jardin qui entoure une grande et chère maison ?

La vie c'est tout simplement nul.

La vie... Très longue, mais en même temps très courte. précieuse mais parfois incomprise. Je ne connais pas entièrement la vérité sur cet aspect, mais au moins, Peut-on en disposer comme bon nous semble ? Certains diraient oui, d’autres hésiteraient, conscients que chaque souffle est un cadeau fragile. On ne peut pas se permettre de jouer avec la vie, ni la nôtre ni celle des autres. La vie des autres est bien plus précieuse que la nôtre... mais à quel moment peut-on parler de sacrifice ? la question du sacrifice se pose : jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour préserver autrui ? Donner sa vie pour une autre est un choix , un dilemme qui divise. Sacrifierais-je ma vie pour autrui ? Le trouble s'installe en chacun de nous, et l'on se demande bien le pourquoi. Beaucoup perdent la vie. Chagrinés par ce phénomène, on aimerait bien que tout cela change... mais à quel prix ? Beaucoup obtiennent la vie, mais arrivés à un certain âge, ils ne réalisent plus vraiment la préciosité de ce qu’elle représente. Pouvons-nous vraiment faire ce que l'on veut de cette vie ? On se dit qu’elle nous est donnée, donc qu’elle nous appartient, et nous pensons être les seuls maîtres de notre destinée. Mais

La vie n'est qu'un mythe, un rêve, un cauchemar, une plaisanterie ou bien encore un luxe... Chaque personne nomme la vie comme bon lui semble. Toi qui vis, une vie de rêve à pouvoir t'acheter tout ce que tu souhaites, à manger dans les plus beaux restaurants du monde, a découvrir et voyager dans les plus beaux pays que la Terre peux nous offrir. Que fera tu quand tu aura tout vue ? Ta vie deviendra au final ennuyeuse... Toi qui as connu une vie compliquée, semée d'embûche, de fossés. Toi qui as vu ta vie devenir des montagnes russes et qui a su comprendre ce qu'il se passait à ses moments-là. Tu seras d'autant fois plus fort que la personne qui n'aura jamais connue tout ça... Alors moi, je préfère vivre une vie semée d'embûche, que tous avoir sur un plateau, car cela me permettra d'avoir de réels objectifs dans ma vie pour gravir les échelons les uns après les autres. La vie n'est pas faite pour être difficile, mais si elle te parait alors compliquée n'oublie pas que tu es la seule personne à avoir les réponses aux problèmes que tu peux rencontrer. La vie n'a de sens que celui qu'on lui donne car tout simplement chaque instant est une toile vierge sur laquelle nous peignons notre p

Vous voulez savoir ce que je pense de la vie ? Ca risque d’être long, donc voilà : je vais simplifier. Car voyez-vous, il faut toujours se simplifier la vie. Ca débute comme ça : on naît en criant, on tète, on fait caca, on fait son rot. Après, on vit... Si on a du bol. Sinon on survit. Et puis, il paraît qu’on meurt à la fin. C’est ce qu’on dit. Pour ce qui me concerne, je n’en suis pas vraiment sûr, n’ayant pas encore vécu cette expérience. J’attends de voir si c’est vrai pour pouvoir en parler. J’aime bien parler de ce que je connais, ne connaissant pas grand-chose, je parle peu. J’ai connu beaucoup de gens et beaucoup d’entre eux sont morts sans s’en douter. Des êtres de passage... J’espère que cela ne m’arrivera pas, car j’ai encore des trucs à faire. J’aimerais bien finir mon livre par exemple... Et puis j’ai la porte et les volets à repeindre. Ca n’a l’air de rien, mais repeindre sa porte ou ses fenêtres, ça en jette depuis la rue. Les gens qui passent se disent : « Tiens ! Il a repeint ses volets, il a encore un peu d’énergie, lui ! » Et pour mon bouquin ? Je cherche la couverture : une fenêtre ou une porte, peinte sur un ciel bleu. Le titre : « Fermez la porte avant d’entr

La vie est une ruche géante. Une grande usine où les ouvriers et ouvrières se pressent, s'affairent et se marchent dessus. Le but de cette ruche est différent pour chacun : plaire à la ruche, et se faire aimer des autres ouvriers, plaire à la reine et espérer une place plus confortable, ou simplement survivre. Il y a quelques années, je faisais partie de cette ruche. Quand le flux de pensées et d'énergie commune devenait trop intense, j'avais pour habitude de me rendre dans un parc près de chez moi, de m'asseoir devant le lac artificiel, et d'observer. Comme mes yeux étaient vides à l'époque...comme mon regard était triste. A cette époque, j'étais coincée dans cette réalité. Un poids sur la poitrine m'empêchant de respirer, j'avançais quand même tant bien que mal en espérant juste...survivre. Et puis un jour, j'ai aperçu une brèche dans les murs de cette ruche, et derrière cette brèche, la lumière semblait éclatante. C'était pour moi l'opportunité de m'évader que j'attendais depuis toujours, alors je l'ai franchi. Derrière cette brèche, j'ai découvert un port de pêche. La brise marine caressait mon visage pendant que j'observais cet énième chaos. Du mouvement, encore, des gens qui

Je n'ai pas les clés de l'énigme,
Je ne donne pas de certitude.
Je laisse juste une trace de mes expériences de vie.

La vie est une marche, ou course, du néant au néant, la suite des deuils de ses idéaux, espérances et rêves, et quand ils se sont tous envolés, par échec brutal, déception, lâcheté ou usure, ceux qui vivent assez longtemps, et réussisent à l’accepter, peuvent mourir à peu près sereinement. Dans tous les autres cas, c’est moins sympa...

Je crois que derrière tout ça, le Grand Manitou se fend la poire en nous regardant nous batailler comme des imbéciles. Mais encore aurait-il fallu qu’il nous donne le mode d’emploi !!! La vie est une luciole qui virevolte dans la nuit, cherchant indéniablement son chemin. La vie est le bout de terre de notre âme où l’on sème nos émotions, nos cauchemars. La vie, c’est comme un ruisseau qui a le pouvoir de détruire ou de nourrir l’infiniment petit qui deviendra l’infiniment grand. La vie, c’est un poète ou un musicien qui construit un ciel étoilé ou ébranle les âmes. La vie, c’est un rythme, des coups de tambours sur une peau sèche qui résonne par delà l’inconnu. La vie est un instant fragile, une seconde dans l’éternité, une fraction de poussière au vu de l’univers. La vie est bonheur, malheur, douleur, ferveur. La vie est un mystère, une chimère, un passage, une goutte d’eau ou une larme qui se posera tôt ou tard sur une terre en jachère.

La vie expliquée aux nulles filles Vous voulez que je vous explique la vie, moi ? Il y a pourtant plus simple et plus direct. Il suffit d'éconduire un prétendant pour avoir un diagnostic immédiat et personnalisé de "qu'est-ce qui ne va pas chez vous" et du "pourquoi jamais aucun mec n'acceptera d'être avec une merde pareille.". Néanmoins, pour celles (et éventuellement ceux) d'entre vous qui ne peuvent s'offrir le détour par la parole amère sage d'un homme vexé, je veux bien me fendre d'un résumé. D'abord, faut arrêter de croire aux contes de fées. Toi, tu imagines que tu peux choisir, faire comme tu en as envie ? La réalité va vite te rattraper, ma cocotte. Non, mais… t'as vu ta gueule ? Le mec était d'accord pour te faire une fleur, et toi, tu t'es montée le chou. T'as les chevilles qui ont gonflé. D'ailleurs, tu fais de la rétention d'eau. Va te faire soigner. Tu viens de louper une occasion unique. Dans le futur, elle ferait bien de mettre de l'eau dans son vin, la petite dame. J'interromps ce résumé sur le sens de la vie pour préciser que j'adoooore quand on m'appelle "ma cocotte" ou "ma petite dame", ça rajoute une touche de mépris charme ; c'est délicieux. Mais je m'égare. I

Qu'est-ce que la Vie ?

Quelques mots ne remplissent pas une vie.

Aujourd'hui, je me suis autorisé à penser... C'est suffisament rare pour que je ponde un textouille...

pour moi la vie est une eau parfois pétillante parfois teinté de couleur sombre et étrange. il n'y a pas que des crus pas que des eaux à sec il y a parfois un entre deux parfois le torrent est à sec mais la rivière pleine. si je devais raconter ma propre vie je dirais qu'elle a été une autoroute jusqu'à mes seize ans , à seize ans le tunel s'est fermé et j'ai du prendre une déviation , rupture radicale entre mes aspirations et ce qu'induisait ce nouveau parmètre apparu à seize ans mais au delà de ces généralités et ce petit dévoilement ce qui forge une vie c'est les rencontres que l'on y fait qui donne une saveur si douce à la vie parfois on se retrouve en état de rupture avec ces rencontres mais elles façonnent nos vies et leurs donnent son goût

Image par Willfried Wende de Pixabay

Réponse au défi de Prisca Plessard
Ce que vous pensez de la vie, tout court

Tout est dans le titre, en fait. Veillez à ne pas faire trop long, une page devrait suffire pour résumer vos idées. Du moment que cela soit percutant, que ça parle à d'autres personnes, c'est l'essentiel.
Mais n'oubliez pas : l'écriture est un exutoire, donc laissez-vous aller !

La vie, c’est un bordel organisé. Un truc absurde où tout le monde court après un truc sans trop savoir quoi. On naît sans demander, on meurt sans prévenir, et entre les deux, on essaie de comprendre. Parfois, on croit qu’on a trouvé la clé, un sens, un but. Mais au final, ce ne sont que des histoires qu’on se raconte pour tenir debout. C’est beau et cruel à la fois. Y’a des jours où le soleil brûle la peau et d’autres où même la lumière fait mal. Y’a les rires qui explosent, les silences qui tuent, les cœurs qui battent trop fort ou plus du tout. On s’attache, on se casse, on s’aime, on saigne. Et toujours, on avance. Parce que s’arrêter, c’est disparaître. La vie, c’est une claque et une caresse en même temps. C’est un frisson sur la peau, un regard qui brûle, une main qui serre trop fort ou pas assez. C’est des nuits où on rêve grand et des matins où tout s’effondre. C’est cette putain d’envie de tout envoyer valser et celle, plus forte encore, de continuer. On sait pas où on va, mais on y va quand même. Parce qu’au fond, c’est peut-être ça, le sens : avancer, même sans savoir pourquoi.