Automatique , comme si on pouvait ne penser a rien. J’aimerai bien voir ça , quelle soulagement cela pourrait il être.
Gerber ses craintes et sa haine ou bien pulvériser, anéantir, atomiser, sans dégât, tout ce qui peut exister et plus encore .
On peut brûler tout les textes que l’on désire et pisser dessus pour éteindre les flammes et laisser sécher les restants cramé et jauni de l’autodafé.
Qu’il est beau l’imaginaire , qu’elle est belle la spontanéité.
Un humain libre détruit, il n’écrit pas.
Écrire est le châtiment de celui qui n’est pas libre , c’est le rêve du prisonnier. Ce que je ne peux pas faire là bas , je peux le faire ici.
Des poèmes nauséabonds , moins on les comprends plus on les aimes . Les vers sont emplie des ces ulcères que l’on aimerai faire éclater. Chaque être humain cultive en lui une graine fécale, on l’appelle littérature .