Ainsi soit-il, le tendu…
Ainsi va là-bas, en soi, l'herbe autour des genêts qui courent,
La larve des petits enfouis ; au sol ; en solitaire…
Ainsi soit-il, le rendu…
Ainsi l'arme et larmes sont dans les gens autour,
des silhouettes et des ordres en jachère…
Des espaces troués de plaques cinétiques
des regards sous nos pieds, qui cadencent l'enfin mort,
une salve déglutit, derrière, et gémit le sens commun…
des fêtards en deuil lézardent en chiques
du fond des strates, des écumes qui louchent encore,
sur lave et dessert, enduites, partiellement pour demain…
Les mouches sont laides dans la sphère qui se referme
quelle angoissante sensation ; quelle – oserais-je – odeur idiote…
les vers dansent dans l'acide, vaquent aux affaires de la ferme
la – disons-le – première des artères se terre et grelotte !
Darde ses rayures écossaises sur un autre bonheur
lorgne vers la mer d'huile qui lèche en vain les moisissures
tes astres amères ont des airs de doux vainqueurs
tes mères austères se marrent sous la dorure !